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| | *. Edward Anthony Masen Cullen. |  |
| | Auteur | Message |
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Edward Cullen
✗ Romans : 49
✗ Entrée a Forks : 10/01/2010
 |  Sujet: *. Edward Anthony Masen Cullen.  Lun 11 Jan - 2:53 | |
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| Edward Anthony Masen Cullen. feat Robert Pattinson.
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(c) Faith
| Masen Cullen.
Edward Anthony.
17 ans ( physiquement ) - 107 ans ( vampirisme ).
20 juin 1901.
Chicago.
Gémeaux.
Hétérosexuel.
Illinois, États-Unis.
Marié pour toujours à la femme de sa vie; Bella. 
Famille Cullen. |
« On dit qu’il n’y a pas que le physique qui compte. »
Edward se voit comme un monstre, un cadavre vivant prêt à aller aux enfers. Il possède un don, celui de pouvoir lire les pensées des autres. Détestant ce que les autres nomment un don, il a l’impression d’entré dans l’intimidé de leurs têtes, là ou tout dois rester secret, même si selon lui les pensées des humains est tout sauf importantes, toutefois envers sa famille, il essai de tout bloquer autour de lui. D’être seul dans sa tête. Étant un vampire végétarien, il se nourrit seulement de sang d'animaux, il ne se nourrit aucunement de sang humain, ne voulant pas ressembler encore plus à un monstre. Tuer de pauvres innocents. Edward est le plus rapide de sa famille, capable de les distancer sans aucun problème. Depuis que Bella est dans sa vie en humaine comme en vampire, il se sent en entier et il a souvent l'impression d'être revenu humain, d’agir comme un humain. Autrefois, il était un cadavre errant, maintenant il a la plus belle femme et la plus merveilleuse mère, Isabella. Le statue de sa femme est beaucoup plus facile pour lui maintenant, lorsqu’elle était n’une pauvre humaine, il était toujours sur ses gardes. Ne pouvant pas offrir ce qu’elle voulait. Des hormones en ébullition. Il est charmant, poli, déterminé et très obstiné. Il est quelque fois colérique mais depuis que Bella n'est plus humaine car sa vie n’est plus autant en danger et qu'il a une fille, sa colère se manifeste beaucoup moins et il est tout simplement heureux de pouvoir enfin aimé sa douce pleinement sans avoir peur de lui faire mal tout en pouvant expérimenter l'expérience qu'il a renier au début de sa vie de vampire : la paternité. La musique est très importante pour lui, un moyen de se libéré. Il joue du piano, Bella est la principale inspiration. Il aime une grande variété de musique, incluant le classique, le jazz, le progressif-métal, le rock alternatif, le punk rock mais n'aime pas le country. Il préfère le rock aux tendances, et apprécie le rock et la musique classique de la même manière. Il préfère la musique des années 1950 qu'aux 60, n'aime pas celles des années 1970, et trouve que celle des années 80 était 'supportable'.
(c)Guizz
« Le style n'est rien, mais rien n'est sans le style. »
Edward est une beauté fatale qui éblouit toute les jeunes femmes rêveuse, une force surnaturelle, une vitesse, une endurance et une agilité qui est tout sauf humain, car bien sur Edward n'est pas un humain mais un vampire. Un vampire végétarien pour être plus précis. Une démarche gracieuse avec un corps d'athlète. Plusieurs personnes le comparent à un Dieu grec, digne d'Apollon, une beauté sans défaut, une beauté impossible mais pourtant réel. Il a une silhouette élancé, un corps fin mais avec un torse bien proportionné de muscle qu'on peut souvent apercevoir à travers des chandails qu'il porte sur lui. Il a la peau très blanchâtre, presque translucide, lorsqu'il est exposé au soleil, caché à la vue des humains, sa peau étincelle, comme des milliers de diamants brillant incrusté à sa peau dure comme du marbre et froide comme de la neige. Son visage est sans défaut, mâchoire carré et forte, pommette haute, un nez droit et des lèvres rose qui se démarque de son teins très pâle. Ses yeux agissent selon son humeur et sa soif. Lorsqu'ils sont noir avec des cernes violettes sous ses yeux, très sombre, la brûlure dans sa gorge est incontrôlable. Doré, on ne peut trouver une meilleure humeur. La majorité du temps, ils sont topazes. Une couleur qui indique qu'il n'est ni en colère, ni totalement au meilleur de sa forme. Il a d'épais cils noirs qui encadrent ses yeux et qui lui donne un air assez sévère. Ses cheveux, toujours en désordre, sont d'une couleur cuivre et même bronze lorsque ceux-ci sont mouillés. Il a de long doigt très fin qui lui permettre d'être un pianiste hors pair. Il n’a pas vraiment de style vestimentaire, se laissant habillé par sa sœur Alice, elle adore lui faire mettre des vêtements qui le met en évidence. Tel que des chemises bleues, noirs, qui font ressortir sa peau de neige. Pour lui, son style vestimentaire n’est pas important, tant qu’il est habillé tout est parfait pour lui !
(c)Guizz
« L'Histoire n'est qu'une histoire à dormir debout. »
Edward est né à Chicago, le 20 juin 1901. Son enfance fut assez joyeuse jusqu'à temps qu'il attrape comme sa mère et son père la grippe espagnole, à l'âge de 17 ans. Ces deux derniers meurent, sa mère demanda une faveur à Carlisle qui les soignait. De tout faire pour que son fils, Edward, vive. Le médecin décida alors de tenter l’expérience de se créer un compagnon, il mordit Edward. Pendant des années, il se rebella à Carlisle, décida d'aller vivre de son coté ne supportant pas son régime alimentaire pourtant il revient vers son créateur. Carlisle trouva Esmée, moitié-morte. Quelque temps après, Rosalie fut aussi transformé par Carlisle. La famille s'agrandit de jour en jour pour arriver à cinq vampires. Carlisle, Esmée, Rosalie, Emmett et lui. Pendant une chasse, un feu follet arriva accompagné d’un jeune homme. La famille s’élargit encore plus; Alice et Jasper. Les années passèrent, son monde était un crépuscule sans soleil. Une nuit sans lune, sans étoile pour le guidé. Ils arrivèrent à Forks. Petite ville pluvieuse. Pendant une journée de cours, deux semaines sans être allé chasser, un danger pourtant il savait se contrôler. Cette douleur dans sa gorge faisait maintenant parti de lui, une nouvelle élève arrive. La fille du chef Swan. Même cour Biologie, même bureau : voisine de chaise. Son odeur... si... alléchante... si particulière. Son cœur battant faiblement dans sa poitrine, le sang sous ses joues qui lui donnèrent des rougeurs. C'était elle la nouvelle, la fille du Chef Swan. Il l'aimait déjà, il aimait son sang. Il aimait la façon d'entendre son cœur battre contre sa poitrine, il aimait regarder son cou dont ses dents pourraient se posé si facilement. Il la voulait, il voulait son sang. Il voulait la gouter, pouvoir ressentir le doux liquide chaud dans sa gorge, apaiser cette brûlure incontrôlable. Pourtant cette fille était étrange, il ne pouvait pas lire ses pensées. Il avait l'impression de foncer dans un mur. Pendant tout le cours, son démon personnel avait resurgit pour le hanter. Supprimant une à une les façons qu’il pourrait l’emmener loin de cette classe pour calmer ce feu qui ne demande que de s’abreuver. De ne pas renier sa vraie nature. Pourtant il réussi à sortir de cette pièce avec aucun mort sur sa conscience. Après cette journée, il parti un temps chez les Denalis, il voulait abandonner. Ne voulant pas désirer la mort de cette inconnue. Mais il ne voulait pas être un lâche. Il ne voulait pas être l'homme si impuissant d'autrefois. Il était capable, il était capable de combattre ce monstre à l'intérieur de lui. Il revient après quelque temps au lycée, tout est comme à son départ. Bella, sa voisine de chaise, avait toujours ses pensées cachées. Ce qui le perturba beaucoup. Il se mit à lui parler, essayer de se faire ami avec elle, peut-être le monstre ne le hantera-t-il plus ainsi. Pourtant à chaque fois, il faisait une erreur devant elle, à chaque fois il lui montrait un peu plus sa vraie nature. Elle a trouvé. Edward est un vampire. Mais il est trop tard. Ce vampire est tombé... amoureux d'une humaine. La complicité s'élargit de plus en plus, mais vient le temps d'un match de baseball ou des nomades passaient par là. L'erreur de sa vie fut d'emmener Bella, l'erreur de son immortel fut de l'emmener avec lui. James, un des nomades, adorant la traque, parti à la recherche de Bella lorsqu'elle fut partie avec Edward. Edward le savait, dès qu'il a entendu ses pensées, jamais il ne lâchera prise. La famille trouvèrent un plan, emmener Bella dans le sud, avec Alice et Jasper. Dans sa ville natale : Phoenix. Edward resta à Forks avec Emmett et Rosalie, d'où leur mission était de brouiller les pistes en portant l'odeur de Bella sur eux. James, malin, fût pris dans le piège mais découvrit que ce n'étais qu'une ruse de la famille Cullen et parti sans attendre vers Phoenix. Edward fou d'inquiet, décida d'aller chercher Bella pour parti, seul, dans un autre endroit pendant que la famille continue de traquer James. Mais lorsqu'il arriva à l'hôtel, Bella n'était plus là. Bella était parti, piégé dans la ruse de James. Non... elle ne pouvait pas être... non... tout simplement impossible. Sans attendre une seconde se plus, Edward parti à la recherche de Bella, son odeur toujours présente. Il repéra facilement, cette pièce aux miroirs. En entrant, l'horrible vision fut de voir James penché sur Bella. Le cœur de Bella sortant de sa poitrine, elle avait peur. Il pouvait le voir sur les traits de son visage. Oh douce, Bella. Ne t'inquiète pas, je suis là maintenant, pensa-t-il. Il sauta sur James sans attendre, voulant l'éloigner le plus loin possible de sa vie, son amour. Il avait tellement eu peur d'arriver en retard, d'arriver trop tard. Non, jamais il ne pouvait même pas y pensé. Bella, droite comme une statue, vidé de tout son sang, ses yeux sans expression, cette maladresse parti... non il ne pouvait tout simplement pas. Il n'avait plus de place dans ce monde si Bella n'y était pas. James était devant lui et semblait ne pas abandonner. Il semblait ne pas savoir son don car il organisait dans sa tête une façon de toucher Bella et... de la mordre... NON ! James le propulsa dans une fenêtre, il courut à coté du pauvre corps de Bella et pris son bras dans sa main. Une vague de colère traversa le corps entier d'Edward est un énorme grognement, tout sauf humain, sortis de sa poitrine. Il sauta sur James, le propulsant dans un mur. Il sauta à nouveau et lui pris la gorge. Il allait mourir, oh oui et sans pitié. Le monstre dans la tête d'Edward semblait tout simplement satisfait. Il ne se possédait tout simplement plus, tout lui était flou, sauf une chose. Tuer James. Soudaine, une voix lointaine arriver à ses oreilles. Carlisle. ''Edward, souvient toi qui tu es, Bella a besoin de toi...'' Bella ! Détournant la tête Il pouvait voir sa famille, Carlisle le regardait avec des yeux fermes. Il laissa tomber ses bras qui tenaient fermement James, Jasper et Emmett prirent James avec eux pour terminer le travail d'Edward. Carlisle alla voir Bella qui souffrait péniblement de la morsure de James, elle avait une jambe cassé et du... sang. Pourtant, il n'était aucunement attiré. Carlisle lui parla mais pourtant rien n'entrai dans son cerveau, il était hypnotisé par la douleur de son amour qui était couché sur le sol, hurlant et souffrant du venin qu'il y avait dans ses veines. Il ne voulait pas, non, jamais il n’aurait pensé un jour l'a voir comme lui. Elle ne pouvait tout simplement pas. Un être si pur comme elle ne pouvait pas devenir un monstre comme lui, un tueur. ''Tu dois le faire Edward'' Non Carlisle, j'allai la tuer. Juste une goute dans ma bouche et elle était morte, je saurai incapable d'arrêter. C'était le jus du fruit interdit, pensa-t-il, l'air torturé. Il prit son poignet dans sa main et approcha sa bouche de la morsure. L'odeur était si bonne ! Si alléchante ! Il respira une bonne fois en ouvrant les yeux. Bella. Comment pourrait-il seulement y arriver, son sang. Le fruit interdit. ''Je vais apaiser ta douleur Bella, je vais apaiser ta douleur'' Hésitant, il approcha la morsure de sa bouche avant de prendre son poignet contre ses dents et de commencer à sucer le sang infecté par le venin. Son sang encore meilleur que dans ses rêves, son sang. ''Edward, tu va la tuer, tu dois trouver la force'' Ouvrant les yeux, Bella le regardait avec ses yeux. Elle semblait beaucoup plus calme et les cris avaient arrêté. Lorsque il aperçu le gout de la morphine, il se propulsa loin derrière, très loin. Se tenant contre le mur, il se lécha ses lèvres, il en voulait plus. Il se débattit à l'intérieur de lui pour qu'il ne s'approche pas. Alice dut voir son début intérieur car elle s'approche doucement de lui en disant des paroles rassurantes. Il pouvait sentir sa mâchoire qui tremblait, doucement, il se releva, les jambes tremblantes. Il s'approcha du corps de Bella où Carlisle continuait à s'occuper d'elle. Ses yeux étaient fermé, il s'agenouilla au même endroit qu'avant et doucement caressa son visage de ses longs doigts. ''Elle est inconsciente mais elle reprendra conscience dans peu de temps. Il faut l'emmener à l'hôpital, il lui manque beaucoup de sang.'' Il prit délicatement Bella dans ses bras et la porte jusqu'à la voiture. Pendant tout le trajet, il la garde près de lui, ne voulant pas la perdre. Ne voulant pas ressentir ce sentiment de désespoir lorsqu'il avait vu la chambre d'hôtel vide. À l'hôpital, il ne sortit sous aucun prétexte hors de sa chambre, il restait près d'elle. Charlie était arrivé le jour même et il me détestait. René était arrivé aussi mais plus tard que Charlie, elle était très inquiète pour sa fille. De temps en temps, Edward s'asseyait et faisait semblant de dormir, il se remémora les journées ou Bella avait le sourire. Âpres quelques jours après, Renée était assise sur une chaise proche de son lit, Edward assis en 'dormant', Bella se réveilla, complètement perdu. ''Maman ? Où est Edward ?'' En entendant sa première phrase de son réveil, il ne put s'empêcher de sourire intérieurement. [ Je change de narrateur ! Le narrateur est maintenant Edward ! ] Bella demanda sans attendre ou était Charlie, elle voulait le voir, elle voulait s'excuser. Renée sortit de la chambre sans attendre, je pouvais entendre Bella respirer bruyamment. Je soulevai doucement mes paupières, elle était là, sur le lit, le regard sur moi. Ses yeux étaient mouillé, sans pour autant qu'il y ait des larmes. Je m'assis à la place d'où était la mère de Bella il y a quelque minute et pris sa main dans la mienne. Aucun des deux n’osait parler, se regardant dans les yeux. Je l'aimais tellement, mais je ne pouvais pas resté près d'elle. Je ne lui faisais que du mal. ''Bella... tu dois aller vivre à Jacksonville.'' Son cœur se mit à battre plus vite et sa respiration à devenir plus saccadé. ''Non ! Je veux rester près de toi. Comment oses-tu simple...''. ''Chut'' la coupai-je. Je me levai doucement et déposa un baiser sur son front. ''Comme si je pouvais vivre sans toi''. Bella resta encore quelque jour à l'hôpital, reprenant la forme. Elle ne pouvait pas encore marcher sur sa jambe cassé, mais un plâtre lui sera installer. De retour à Forks, le bal. Je savais que Bella ne voulait pas y aller, mais avec mon regard, je les imploré de tout mon être et elle n'a pas pus s'empêcher d'être éblouit et d'accepter. ( ^^ ) Le bal se passa merveilleusement bien, sauf que Bella ne semblait pas laisser l'idée de la transformer. Pourtant je n'avais qu'une réponse pour elle, jamais je n'allais changer d'idée. Jamais. Au pire de passé le restant de sa vie loin d'elle, je ne pourrais jamais me permettre de la voir en statue, blanche, dur comme du marbre. Sa fête pour ses dix-huit ans arriva à grand pas, pourtant elle m'avait fait jurer que je ne pourrais pas lui souhaiter bonne fête et que je ne pourrais rien faire. Mais je savais qu'Alice ne laissera pas une occasion si parfaite pour organiser une fête. J'avais seulement juré sur ma tête, et non sur celle de ma famille. Comme je le pensais, elle n’était pas contente, je me suis toujours demander pourquoi elle détestait autant les surprises et les cadeaux. C’était agréable d’avoir des présents, pouvoir se sentir important. Ce qu’elle ne semblait pas comprendre. La journée passa bien. Personne ne semblait connaître la date aujourd’hui, j’avais envie de le crier. Personne dire à tout le monde qu’aujourd’hui était la journée la plus merveilleuse. Mon amour avait 18 ans. Le soir, comme Alice lui avait informé qu’elle avait organisé une fête en son honneur, elle avait refusé prétextant regarder Roméo et Juliette, c’est avec bonheur que j’ai annoncé à Alice qu’elle aurait juste plus de temps pour tout organiser. Nous allâmes chez ma douce regarder ce film que je connaissais par cœur. Pendant qu’elle écoutait le film, je récitais plusieurs phrases de Roméo. Et je ne fus pas déçu. Elle pleura à la fin lorsque Roméo se suicida pour rejoindre sa douce aimée. Que j’aimerais mourir aussi facilement. Après le film, Charlie arriva. Ils soupèrent ensuite nous allons chez moi. Bella ouvrit ses cadeaux, total erreur. Jasper fonça droit sur elle, crocs en l’air. Je poussai Bella pour l’éloigner le plus possible de ce que nous étions, des monstres. J’envoyais Jasper à l’autre bout de la pièce. Une odeur flotta dans l’air. Du sang. Un fruit interdit. Rosalie et Emmett emmenèrent Jasper à l’extérieur. Carlisle s’avança doucement vers Bella, un grognement monta dans ma poitrine. ''Je me contrôle Edward.'' Il s’avança plus prêt et s’agenouilla face à elle. Bella ne semblait pas savoir comment réagir, je pouvais voir qu’elle sembla respiré par la bouche pour ne pas que l’odeur du sang lui monte à la tête. Alice alla chercher la trousse de secours de Carlisle. J’emmenai Bella dans la salle à manger. Elle n’était pas effrayer par ce qui venait se passer, j’étais incapable de pouvoir déchiffrer son expression. Carlisle finit par me convaincre, je sortis à l’extérieur. Jasper était assis au sol, Alice à coté qui essayait de le rassurer. J’étais furieux, Jasper ne releva pas la tête. Il se culpabilisait. Tout ce que je regrettais était arrivé. Mon chois était fait. Je devais préparer le terrain. Lorsque Carlisle eut terminé, je raccompagnais Bella chez elle. Elle me demanda de rester, ce que je faisais les autres nuits. Pourtant cette nuit-là, tout était devenu différent. J’acceptai, voulant profiter de cette dernière nuit. Les jours passèrent et je pouvais sentir que j’étais beaucoup plus distant. Bella me disait que ce n’était pas grave. Jasper lui sautait dessus, assoiffé et elle disait que ce n’était rien. Du Bella tout craché. Par une journée, je décidais que le temps était venu. Demandant à Bella, si sa serait possible qu’on puisse parler, elle accepta. Nous allâmes marcher dans la forêt, devant chez elle, je m’éloignai pas trop. On pouvait toujours distinguer sa maison blanche au travers des branches.
''Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrai pas. Poursuis ta vie, je ne m’en mêlerai plus. Ce sera comme si je n’avais jamais existé.''
Elle m’avait cru. Elle avait cru que je l’aimais plus. Comment pouvait-elle croire que j’étais lasse d’elle ? Pourtant c’était tout le contraire. Je l’aimais plus que ma propre vie, je voulais sa présence. Son odeur. Son souffle. La plus belle mélodie au monde; le battement de son cœur. Cela fait maintenant plusieurs mois que j’ai quitté ma vie, que je ne vis plus. J’étais réellement mort. Plus mort qu’un vampire. J’adorais sentir la brûlure dans ma gorge, je détestais l’apaiser. Six mois c’était passé. J’avais l’impression que mes 107 ans n’étaient rien comparés à ses petites mois. J’essayais de m’occuper, mais en vain. Tout me rappelait Bella. J’essayai de traquer Victoria mais elle était plus forte de ce que je l’aurai cru. Elle m’a piégé. J’étais bon pour m’enfermer dans une pièce et ne touché à rien. Mon portable sonna. Rosalie. Alice a vu Bella sauta en haut d’une falaise. Impossible. Aucun geste stupide et téméraire. Elle m’avait trahi. De toute façon, comment pouvais-je lui en vouloir. C’était moi le coupable. Je l’avais abandonné. Moi qui avais pensé qu’elle sera mieux sans moi. Qu’elle allait m’oublier. Composant le numéro de chez Bella, un jeune homme me répondu. Sa voix était rauque, frustré. Charlie n’était pas là. Il était à l’enterrement. Bella. Il irait demander aux Volturis de rejoindre son amour. C’était la seule solution d’être ensemble pour l’éternité.
Aro refusa. Du gaspillage, appela cela t’il. Il me voulait dans ses troupes. Pourtant il était impressionné par mon dévouement de la garder en vie, la tua cantante. Essayant de trouver une façon de pouvoir les provoquer, me montrer au soleil sembla la meilleure façon. Comment avait-elle pu penser de sauter une falaise ? Était-elle devenue aussi stupide à ce point ? Je me mis sous une grosse horloge. J’allai entendre midi, le soleil allait être au zénith. Le moment parfait. L’horloge se mit à sonner les douze coups, la terre tremblait par la puissance du mécanisme. Je retirai ma chemise, la laissa tomber contre le sol. Avançant un pied vers le soleil, me préparant à savourer la douce fraicheur du soleil contre ma peau. Quelque chose se jeta contre moi, une odeur entra dans mes narines. Étais-je déjà mort ? Ils avaient fait rapides. Je n’avais jamais osé à penser à son odeur, ne voulant pas fléchir. Elle me regardait, m’incitant à me mettre dans l’ombre du clocher, pourquoi voudrais-je bouger ? J’étais définitivement mort et plus rien m’importait, j’étais avec mon amour. Soudain je compris, nous n’étions pas morts. Sinon elle ne sera pas avec moi. Elle sera au paradis. Elle ne pouvait pas être en enfer. Je me reculai, l’entrainant contre moi. Deux capes sombres s’avancèrent vers nous. [ Voilà l’histoire avec moins de détails. C’est assez long. ] Nous réussîmes à partir avec un compromis qui ne m’allait guère. Transformer Bella. Elle voulait que je la transforme. Je lui mis un compromis. Qu’elle devienne ma femme avant. Sa réaction m’avait un peu déçu, comme si elle était attirée par être vampire mais pas par moi. La routine s’installa. Je lui faisais remplir des formulaires pour l’université, Charlie me détestait. J’étais contraint aux heures de visites. Ce que Charlie ne savait pas c’est que la nuit, je me glissai doucement par la fenêtre de sa fille. Dans le journal, on pouvait voir un meurtrier à Seattle. Plutôt l’œuvre d’un vampire. Je commençai à être plus tolérant avec Jacob Black. Elle était plus heureuse comme sa. Je mis certain conditions qu’elle accepta. À Seattle, tout semblait aller de pire en pire. Nous décidâmes d’aller voir, mais Alice eut une vision. Ils arrivèrent. Une personne avait créé une armée de nouveaux nés pour tuer les Cullen et Bella. Avec Jacob, nous décimâmes de combattre aux cotés des loups-garous. Cependant une nuit où ma famille était parti chasser, Bella accepta de m’épouser à condition qu’à la lune de miel j’essai de coucher avec elle. Et vint ce fameux jour où Bella m’avait demandé de pas me battre, j’allai rester avec elle. La créatrice était Victoria. Avec l’aide de Seth, nous tuâmes Victoria avec un nouveau né, un jouet pour elle. Le mariage se passa très bien. Ma femme était tout simplement magnifique ! Jacob vint la voir, il avait failli perdre le contrôle. Nous partîmes en voyage de miel. Elle était recouverte d’ecchymoses, la première nuit. Pourtant têtu comme elle est, elle fini par me faire succomber. Les jours passèrent, et elle finit par être malade. Une intoxication disait-elle. Pourtant, elle continuait à aller mal. Lorsqu’elle était partie chercher quelque chose pour la soulager, elle me montra sa boite de tampons. Je ne comprenais pas trop, pourtant les actes m’entraient dans la tête. Tout simplement… impossible. Nous étions stériles, les vampires ne pouvaient pas créer. Carlisle appela, il pensait que Bella était enceinte. Il fallait se débarrassé de cette chose qui allait la tuer. Arriver à Forks, elle m’annonça qu’elle voulait garder le bébé. Son état alla de pire en pire. Elle s’affaiblissait. Rosalie qui l’a toujours détester était à son chevet, prête à tout pour avoir un bébé. Le moment de l’accouchement arriva. Son cœur arrêta de battre, je pris une seringue et la planta directement dans son cœur. Mon venin. Elle n’était pas comme les vampires nouveaux nés, elle savait se contrôler. Elle était tout simplement merveilleuse ! Avec notre fille, elle était encore plus merveilleuse. Renesmée, mon bébé, ma progéniture, elle était unique. Spécial. Elle avait un charme fou ! Les prunelles de sa mère. Des fois passèrent, les Volturis apprirent l’existence de ma fille. Pour eux, elle était un enfant immortel. Nous appelâmes des amis, tous ceux qu’on pouvait réunir enfin d’avoir des témoins. Nous ne voulions pas nous battre, comme voir ma femme et ma fille se faire détruire ? Comment vivre sans eux ? Tout simplement impossible. Nulle bagarre. Nous réussîmes à faire diviser les Volturis. Pourtant je pouvais lire la haine d’Aro. Il n’était pas content. Il avait perdu de nombreux pouvoirs. Pour l’instant, nous avons la paix. J’étais avec ma femme. Ma fille. Ma famille. Étais-je heureux ? Oui, je l’étais.
Code : Love me.
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Edward Cullen
✗ Romans : 49
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| | Sujet: Re: *. Edward Anthony Masen Cullen. Lun 11 Jan - 3:00 | |
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Edward Cullen
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| | Sujet: Re: *. Edward Anthony Masen Cullen. Lun 11 Jan - 3:01 | |
| Merci ^^
Tu vois j'ai réussi à terminer dans la journée ! XD
Bon j'avoue que la fin de l'histoire est nulle ^^
Dernière édition par Edward Cullen le Lun 11 Jan - 4:22, édité 1 fois |
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Renesmée Cullen
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| | Sujet: Re: *. Edward Anthony Masen Cullen. Lun 11 Jan - 4:00 | |
| GOSH, papaa !
t'étais dedans c'est le cas de le dire.
au moins t'as réussis à terminer HAHA
BIENVENUUUUUUE (: |
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Edward Cullen
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Belleza ArozAdministratrice
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Edward Cullen
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| | Sujet: Re: *. Edward Anthony Masen Cullen. Lun 11 Jan - 5:33 | |
| C'est pour sa survie que je suis ici, on m'a harcelé ! :O
Mercii Zazette xD
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Svetlana WilliamsModératrice
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| | Sujet: Re: *. Edward Anthony Masen Cullen. Mar 12 Jan - 21:04 | |
| - Edward Cullen a écrit:
| Edward Anthony Masen Cullen. feat Robert Pattinson.
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(c) Faith
| Masen Cullen.
Edward Anthony.
17 ans ( physiquement ) - 107 ans ( vampirisme ).
20 juin 1901.
Chicago.
Gémeaux.
Hétérosexuel.
Illinois, États-Unis.
Marié pour toujours à la femme de sa vie; Bella.
Famille Cullen. |
« On dit qu’il n’y a pas que le physique qui compte. »
Edward se voit comme un monstre, un cadavre vivant prêt à aller aux enfers. Il possède un don, celui de pouvoir lire les pensées des autres. Détestant ce que les autres nomment un don, il a l’impression d’entré dans l’intimidé de leurs têtes, là ou tout dois rester secret, même si selon lui les pensées des humains est tout sauf importantes, toutefois envers sa famille, il essai de tout bloquer autour de lui. D’être seul dans sa tête. Étant un vampire végétarien, il se nourrit seulement de sang d'animaux, il ne se nourrit aucunement de sang humain, ne voulant pas ressembler encore plus à un monstre. Tuer de pauvres innocents. Edward est le plus rapide de sa famille, capable de les distancer sans aucun problème. Depuis que Bella est dans sa vie en humaine comme en vampire, il se sent en entier et il a souvent l'impression d'être revenu humain, d’agir comme un humain. Autrefois, il était un cadavre errant, maintenant il a la plus belle femme et la plus merveilleuse mère, Isabella. Le statue de sa femme est beaucoup plus facile pour lui maintenant, lorsqu’elle était n’une pauvre humaine, il était toujours sur ses gardes. Ne pouvant pas offrir ce qu’elle voulait. Des hormones en ébullition. Il est charmant, poli, déterminé et très obstiné. Il est quelque fois colérique mais depuis que Bella n'est plus humaine car sa vie n’est plus autant en danger et qu'il a une fille, sa colère se manifeste beaucoup moins et il est tout simplement heureux de pouvoir enfin aimé sa douce pleinement sans avoir peur de lui faire mal tout en pouvant expérimenter l'expérience qu'il a renier au début de sa vie de vampire : la paternité. La musique est très importante pour lui, un moyen de se libéré. Il joue du piano, Bella est la principale inspiration. Il aime une grande variété de musique, incluant le classique, le jazz, le progressif-métal, le rock alternatif, le punk rock mais n'aime pas le country. Il préfère le rock aux tendances, et apprécie le rock et la musique classique de la même manière. Il préfère la musique des années 1950 qu'aux 60, n'aime pas celles des années 1970, et trouve que celle des années 80 était 'supportable'.
(c)Guizz
« Le style n'est rien, mais rien n'est sans le style. »
Edward est une beauté fatale qui éblouit toute les jeunes femmes rêveuse, une force surnaturelle, une vitesse, une endurance et une agilité qui est tout sauf humain, car bien sur Edward n'est pas un humain mais un vampire. Un vampire végétarien pour être plus précis. Une démarche gracieuse avec un corps d'athlète. Plusieurs personnes le comparent à un Dieu grec, digne d'Apollon, une beauté sans défaut, une beauté impossible mais pourtant réel. Il a une silhouette élancé, un corps fin mais avec un torse bien proportionné de muscle qu'on peut souvent apercevoir à travers des chandails qu'il porte sur lui. Il a la peau très blanchâtre, presque translucide, lorsqu'il est exposé au soleil, caché à la vue des humains, sa peau étincelle, comme des milliers de diamants brillant incrusté à sa peau dure comme du marbre et froide comme de la neige. Son visage est sans défaut, mâchoire carré et forte, pommette haute, un nez droit et des lèvres rose qui se démarque de son teins très pâle. Ses yeux agissent selon son humeur et sa soif. Lorsqu'ils sont noir avec des cernes violettes sous ses yeux, très sombre, la brûlure dans sa gorge est incontrôlable. Doré, on ne peut trouver une meilleure humeur. La majorité du temps, ils sont topazes. Une couleur qui indique qu'il n'est ni en colère, ni totalement au meilleur de sa forme. Il a d'épais cils noirs qui encadrent ses yeux et qui lui donne un air assez sévère. Ses cheveux, toujours en désordre, sont d'une couleur cuivre et même bronze lorsque ceux-ci sont mouillés. Il a de long doigt très fin qui lui permettre d'être un pianiste hors pair. Il n’a pas vraiment de style vestimentaire, se laissant habillé par sa sœur Alice, elle adore lui faire mettre des vêtements qui le met en évidence. Tel que des chemises bleues, noirs, qui font ressortir sa peau de neige. Pour lui, son style vestimentaire n’est pas important, tant qu’il est habillé tout est parfait pour lui !
(c)Guizz
« L'Histoire n'est qu'une histoire à dormir debout. »
Edward est né à Chicago, le 20 juin 1901. Son enfance fut assez joyeuse jusqu'à temps qu'il attrape comme sa mère et son père la grippe espagnole, à l'âge de 17 ans. Ces deux derniers meurent, sa mère demanda une faveur à Carlisle qui les soignait. De tout faire pour que son fils, Edward, vive. Le médecin décida alors de tenter l’expérience de se créer un compagnon, il mordit Edward. Pendant des années, il se rebella à Carlisle, décida d'aller vivre de son coté ne supportant pas son régime alimentaire pourtant il revient vers son créateur. Carlisle trouva Esmée, moitié-morte. Quelque temps après, Rosalie fut aussi transformé par Carlisle. La famille s'agrandit de jour en jour pour arriver à cinq vampires. Carlisle, Esmée, Rosalie, Emmett et lui. Pendant une chasse, un feu follet arriva accompagné d’un jeune homme. La famille s’élargit encore plus; Alice et Jasper. Les années passèrent, son monde était un crépuscule sans soleil. Une nuit sans lune, sans étoile pour le guidé. Ils arrivèrent à Forks. Petite ville pluvieuse. Pendant une journée de cours, deux semaines sans être allé chasser, un danger pourtant il savait se contrôler. Cette douleur dans sa gorge faisait maintenant parti de lui, une nouvelle élève arrive. La fille du chef Swan. Même cour Biologie, même bureau : voisine de chaise. Son odeur... si... alléchante... si particulière. Son cœur battant faiblement dans sa poitrine, le sang sous ses joues qui lui donnèrent des rougeurs. C'était elle la nouvelle, la fille du Chef Swan. Il l'aimait déjà, il aimait son sang. Il aimait la façon d'entendre son cœur battre contre sa poitrine, il aimait regarder son cou dont ses dents pourraient se posé si facilement. Il la voulait, il voulait son sang. Il voulait la gouter, pouvoir ressentir le doux liquide chaud dans sa gorge, apaiser cette brûlure incontrôlable. Pourtant cette fille était étrange, il ne pouvait pas lire ses pensées. Il avait l'impression de foncer dans un mur. Pendant tout le cours, son démon personnel avait resurgit pour le hanter. Supprimant une à une les façons qu’il pourrait l’emmener loin de cette classe pour calmer ce feu qui ne demande que de s’abreuver. De ne pas renier sa vraie nature. Pourtant il réussi à sortir de cette pièce avec aucun mort sur sa conscience. Après cette journée, il parti un temps chez les Denalis, il voulait abandonner. Ne voulant pas désirer la mort de cette inconnue. Mais il ne voulait pas être un lâche. Il ne voulait pas être l'homme si impuissant d'autrefois. Il était capable, il était capable de combattre ce monstre à l'intérieur de lui. Il revient après quelque temps au lycée, tout est comme à son départ. Bella, sa voisine de chaise, avait toujours ses pensées cachées. Ce qui le perturba beaucoup. Il se mit à lui parler, essayer de se faire ami avec elle, peut-être le monstre ne le hantera-t-il plus ainsi. Pourtant à chaque fois, il faisait une erreur devant elle, à chaque fois il lui montrait un peu plus sa vraie nature. Elle a trouvé. Edward est un vampire. Mais il est trop tard. Ce vampire est tombé... amoureux d'une humaine. La complicité s'élargit de plus en plus, mais vient le temps d'un match de baseball ou des nomades passaient par là. L'erreur de sa vie fut d'emmener Bella, l'erreur de son immortel fut de l'emmener avec lui. James, un des nomades, adorant la traque, parti à la recherche de Bella lorsqu'elle fut partie avec Edward. Edward le savait, dès qu'il a entendu ses pensées, jamais il ne lâchera prise. La famille trouvèrent un plan, emmener Bella dans le sud, avec Alice et Jasper. Dans sa ville natale : Phoenix. Edward resta à Forks avec Emmett et Rosalie, d'où leur mission était de brouiller les pistes en portant l'odeur de Bella sur eux. James, malin, fût pris dans le piège mais découvrit que ce n'étais qu'une ruse de la famille Cullen et parti sans attendre vers Phoenix. Edward fou d'inquiet, décida d'aller chercher Bella pour parti, seul, dans un autre endroit pendant que la famille continue de traquer James. Mais lorsqu'il arriva à l'hôtel, Bella n'était plus là. Bella était parti, piégé dans la ruse de James. Non... elle ne pouvait pas être... non... tout simplement impossible. Sans attendre une seconde se plus, Edward parti à la recherche de Bella, son odeur toujours présente. Il repéra facilement, cette pièce aux miroirs. En entrant, l'horrible vision fut de voir James penché sur Bella. Le cœur de Bella sortant de sa poitrine, elle avait peur. Il pouvait le voir sur les traits de son visage. Oh douce, Bella. Ne t'inquiète pas, je suis là maintenant, pensa-t-il. Il sauta sur James sans attendre, voulant l'éloigner le plus loin possible de sa vie, son amour. Il avait tellement eu peur d'arriver en retard, d'arriver trop tard. Non, jamais il ne pouvait même pas y pensé. Bella, droite comme une statue, vidé de tout son sang, ses yeux sans expression, cette maladresse parti... non il ne pouvait tout simplement pas. Il n'avait plus de place dans ce monde si Bella n'y était pas. James était devant lui et semblait ne pas abandonner. Il semblait ne pas savoir son don car il organisait dans sa tête une façon de toucher Bella et... de la mordre... NON ! James le propulsa dans une fenêtre, il courut à coté du pauvre corps de Bella et pris son bras dans sa main. Une vague de colère traversa le corps entier d'Edward est un énorme grognement, tout sauf humain, sortis de sa poitrine. Il sauta sur James, le propulsant dans un mur. Il sauta à nouveau et lui pris la gorge. Il allait mourir, oh oui et sans pitié. Le monstre dans la tête d'Edward semblait tout simplement satisfait. Il ne se possédait tout simplement plus, tout lui était flou, sauf une chose. Tuer James. Soudaine, une voix lointaine arriver à ses oreilles. Carlisle. ''Edward, souvient toi qui tu es, Bella a besoin de toi...'' Bella ! Détournant la tête Il pouvait voir sa famille, Carlisle le regardait avec des yeux fermes. Il laissa tomber ses bras qui tenaient fermement James, Jasper et Emmett prirent James avec eux pour terminer le travail d'Edward. Carlisle alla voir Bella qui souffrait péniblement de la morsure de James, elle avait une jambe cassé et du... sang. Pourtant, il n'était aucunement attiré. Carlisle lui parla mais pourtant rien n'entrai dans son cerveau, il était hypnotisé par la douleur de son amour qui était couché sur le sol, hurlant et souffrant du venin qu'il y avait dans ses veines. Il ne voulait pas, non, jamais il n’aurait pensé un jour l'a voir comme lui. Elle ne pouvait tout simplement pas. Un être si pur comme elle ne pouvait pas devenir un monstre comme lui, un tueur. ''Tu dois le faire Edward'' Non Carlisle, j'allai la tuer. Juste une goute dans ma bouche et elle était morte, je saurai incapable d'arrêter. C'était le jus du fruit interdit, pensa-t-il, l'air torturé. Il prit son poignet dans sa main et approcha sa bouche de la morsure. L'odeur était si bonne ! Si alléchante ! Il respira une bonne fois en ouvrant les yeux. Bella. Comment pourrait-il seulement y arriver, son sang. Le fruit interdit. ''Je vais apaiser ta douleur Bella, je vais apaiser ta douleur'' Hésitant, il approcha la morsure de sa bouche avant de prendre son poignet contre ses dents et de commencer à sucer le sang infecté par le venin. Son sang encore meilleur que dans ses rêves, son sang. ''Edward, tu va la tuer, tu dois trouver la force'' Ouvrant les yeux, Bella le regardait avec ses yeux. Elle semblait beaucoup plus calme et les cris avaient arrêté. Lorsque il aperçu le gout de la morphine, il se propulsa loin derrière, très loin. Se tenant contre le mur, il se lécha ses lèvres, il en voulait plus. Il se débattit à l'intérieur de lui pour qu'il ne s'approche pas. Alice dut voir son début intérieur car elle s'approche doucement de lui en disant des paroles rassurantes. Il pouvait sentir sa mâchoire qui tremblait, doucement, il se releva, les jambes tremblantes. Il s'approcha du corps de Bella où Carlisle continuait à s'occuper d'elle. Ses yeux étaient fermé, il s'agenouilla au même endroit qu'avant et doucement caressa son visage de ses longs doigts. ''Elle est inconsciente mais elle reprendra conscience dans peu de temps. Il faut l'emmener à l'hôpital, il lui manque beaucoup de sang.'' Il prit délicatement Bella dans ses bras et la porte jusqu'à la voiture. Pendant tout le trajet, il la garde près de lui, ne voulant pas la perdre. Ne voulant pas ressentir ce sentiment de désespoir lorsqu'il avait vu la chambre d'hôtel vide. À l'hôpital, il ne sortit sous aucun prétexte hors de sa chambre, il restait près d'elle. Charlie était arrivé le jour même et il me détestait. René était arrivé aussi mais plus tard que Charlie, elle était très inquiète pour sa fille. De temps en temps, Edward s'asseyait et faisait semblant de dormir, il se remémora les journées ou Bella avait le sourire. Âpres quelques jours après, Renée était assise sur une chaise proche de son lit, Edward assis en 'dormant', Bella se réveilla, complètement perdu. ''Maman ? Où est Edward ?'' En entendant sa première phrase de son réveil, il ne put s'empêcher de sourire intérieurement. [ Je change de narrateur ! Le narrateur est maintenant Edward ! ] Bella demanda sans attendre ou était Charlie, elle voulait le voir, elle voulait s'excuser. Renée sortit de la chambre sans attendre, je pouvais entendre Bella respirer bruyamment. Je soulevai doucement mes paupières, elle était là, sur le lit, le regard sur moi. Ses yeux étaient mouillé, sans pour autant qu'il y ait des larmes. Je m'assis à la place d'où était la mère de Bella il y a quelque minute et pris sa main dans la mienne. Aucun des deux n’osait parler, se regardant dans les yeux. Je l'aimais tellement, mais je ne pouvais pas resté près d'elle. Je ne lui faisais que du mal. ''Bella... tu dois aller vivre à Jacksonville.'' Son cœur se mit à battre plus vite et sa respiration à devenir plus saccadé. ''Non ! Je veux rester près de toi. Comment oses-tu simple...''. ''Chut'' la coupai-je. Je me levai doucement et déposa un baiser sur son front. ''Comme si je pouvais vivre sans toi''. Bella resta encore quelque jour à l'hôpital, reprenant la forme. Elle ne pouvait pas encore marcher sur sa jambe cassé, mais un plâtre lui sera installer. De retour à Forks, le bal. Je savais que Bella ne voulait pas y aller, mais avec mon regard, je les imploré de tout mon être et elle n'a pas pus s'empêcher d'être éblouit et d'accepter. ( ^^ ) Le bal se passa merveilleusement bien, sauf que Bella ne semblait pas laisser l'idée de la transformer. Pourtant je n'avais qu'une réponse pour elle, jamais je n'allais changer d'idée. Jamais. Au pire de passé le restant de sa vie loin d'elle, je ne pourrais jamais me permettre de la voir en statue, blanche, dur comme du marbre. Sa fête pour ses dix-huit ans arriva à grand pas, pourtant elle m'avait fait jurer que je ne pourrais pas lui souhaiter bonne fête et que je ne pourrais rien faire. Mais je savais qu'Alice ne laissera pas une occasion si parfaite pour organiser une fête. J'avais seulement juré sur ma tête, et non sur celle de ma famille. Comme je le pensais, elle n’était pas contente, je me suis toujours demander pourquoi elle détestait autant les surprises et les cadeaux. C’était agréable d’avoir des présents, pouvoir se sentir important. Ce qu’elle ne semblait pas comprendre. La journée passa bien. Personne ne semblait connaître la date aujourd’hui, j’avais envie de le crier. Personne dire à tout le monde qu’aujourd’hui était la journée la plus merveilleuse. Mon amour avait 18 ans. Le soir, comme Alice lui avait informé qu’elle avait organisé une fête en son honneur, elle avait refusé prétextant regarder Roméo et Juliette, c’est avec bonheur que j’ai annoncé à Alice qu’elle aurait juste plus de temps pour tout organiser. Nous allâmes chez ma douce regarder ce film que je connaissais par cœur. Pendant qu’elle écoutait le film, je récitais plusieurs phrases de Roméo. Et je ne fus pas déçu. Elle pleura à la fin lorsque Roméo se suicida pour rejoindre sa douce aimée. Que j’aimerais mourir aussi facilement. Après le film, Charlie arriva. Ils soupèrent ensuite nous allons chez moi. Bella ouvrit ses cadeaux, total erreur. Jasper fonça droit sur elle, crocs en l’air. Je poussai Bella pour l’éloigner le plus possible de ce que nous étions, des monstres. J’envoyais Jasper à l’autre bout de la pièce. Une odeur flotta dans l’air. Du sang. Un fruit interdit. Rosalie et Emmett emmenèrent Jasper à l’extérieur. Carlisle s’avança doucement vers Bella, un grognement monta dans ma poitrine. ''Je me contrôle Edward.'' Il s’avança plus prêt et s’agenouilla face à elle. Bella ne semblait pas savoir comment réagir, je pouvais voir qu’elle sembla respiré par la bouche pour ne pas que l’odeur du sang lui monte à la tête. Alice alla chercher la trousse de secours de Carlisle. J’emmenai Bella dans la salle à manger. Elle n’était pas effrayer par ce qui venait se passer, j’étais incapable de pouvoir déchiffrer son expression. Carlisle finit par me convaincre, je sortis à l’extérieur. Jasper était assis au sol, Alice à coté qui essayait de le rassurer. J’étais furieux, Jasper ne releva pas la tête. Il se culpabilisait. Tout ce que je regrettais était arrivé. Mon chois était fait. Je devais préparer le terrain. Lorsque Carlisle eut terminé, je raccompagnais Bella chez elle. Elle me demanda de rester, ce que je faisais les autres nuits. Pourtant cette nuit-là, tout était devenu différent. J’acceptai, voulant profiter de cette dernière nuit. Les jours passèrent et je pouvais sentir que j’étais beaucoup plus distant. Bella me disait que ce n’était pas grave. Jasper lui sautait dessus, assoiffé et elle disait que ce n’était rien. Du Bella tout craché. Par une journée, je décidais que le temps était venu. Demandant à Bella, si sa serait possible qu’on puisse parler, elle accepta. Nous allâmes marcher dans la forêt, devant chez elle, je m’éloignai pas trop. On pouvait toujours distinguer sa maison blanche au travers des branches.
''Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrai pas. Poursuis ta vie, je ne m’en mêlerai plus. Ce sera comme si je n’avais jamais existé.''
Elle m’avait cru. Elle avait cru que je l’aimais plus. Comment pouvait-elle croire que j’étais lasse d’elle ? Pourtant c’était tout le contraire. Je l’aimais plus que ma propre vie, je voulais sa présence. Son odeur. Son souffle. La plus belle mélodie au monde; le battement de son cœur. Cela fait maintenant plusieurs mois que j’ai quitté ma vie, que je ne vis plus. J’étais réellement mort. Plus mort qu’un vampire. J’adorais sentir la brûlure dans ma gorge, je détestais l’apaiser. Six mois c’était passé. J’avais l’impression que mes 107 ans n’étaient rien comparés à ses petites mois. J’essayais de m’occuper, mais en vain. Tout me rappelait Bella. J’essayai de traquer Victoria mais elle était plus forte de ce que je l’aurai cru. Elle m’a piégé. J’étais bon pour m’enfermer dans une pièce et ne touché à rien. Mon portable sonna. Rosalie. Alice a vu Bella sauta en haut d’une falaise. Impossible. Aucun geste stupide et téméraire. Elle m’avait trahi. De toute façon, comment pouvais-je lui en vouloir. C’était moi le coupable. Je l’avais abandonné. Moi qui avais pensé qu’elle sera mieux sans moi. Qu’elle allait m’oublier. Composant le numéro de chez Bella, un jeune homme me répondu. Sa voix était rauque, frustré. Charlie n’était pas là. Il était à l’enterrement. Bella. Il irait demander aux Volturis de rejoindre son amour. C’était la seule solution d’être ensemble pour l’éternité.
Aro refusa. Du gaspillage, appela cela t’il. Il me voulait dans ses troupes. Pourtant il était impressionné par mon dévouement de la garder en vie, la tua cantante. Essayant de trouver une façon de pouvoir les provoquer, me montrer au soleil sembla la meilleure façon. Comment avait-elle pu penser de sauter une falaise ? Était-elle devenue aussi stupide à ce point ? Je me mis sous une grosse horloge. J’allai entendre midi, le soleil allait être au zénith. Le moment parfait. L’horloge se mit à sonner les douze coups, la terre tremblait par la puissance du mécanisme. Je retirai ma chemise, la laissa tomber contre le sol. Avançant un pied vers le soleil, me préparant à savourer la douce fraicheur du soleil contre ma peau. Quelque chose se jeta contre moi, une odeur entra dans mes narines. Étais-je déjà mort ? Ils avaient fait rapides. Je n’avais jamais osé à penser à son odeur, ne voulant pas fléchir. Elle me regardait, m’incitant à me mettre dans l’ombre du clocher, pourquoi voudrais-je bouger ? J’étais définitivement mort et plus rien m’importait, j’étais avec mon amour. Soudain je compris, nous n’étions pas morts. Sinon elle ne sera pas avec moi. Elle sera au paradis. Elle ne pouvait pas être en enfer. Je me reculai, l’entrainant contre moi. Deux capes sombres s’avancèrent vers nous. [ Voilà l’histoire avec moins de détails. C’est assez long. ] Nous réussîmes à partir avec un compromis qui ne m’allait guère. Transformer Bella. Elle voulait que je la transforme. Je lui mis un compromis. Qu’elle devienne ma femme avant. Sa réaction m’avait un peu déçu, comme si elle était attirée par être vampire mais pas par moi. La routine s’installa. Je lui faisais remplir des formulaires pour l’université, Charlie me détestait. J’étais contraint aux heures de visites. Ce que Charlie ne savait pas c’est que la nuit, je me glissai doucement par la fenêtre de sa fille. Dans le journal, on pouvait voir un meurtrier à Seattle. Plutôt l’œuvre d’un vampire. Je commençai à être plus tolérant avec Jacob Black. Elle était plus heureuse comme sa. Je mis certain conditions qu’elle accepta. À Seattle, tout semblait aller de pire en pire. Nous décidâmes d’aller voir, mais Alice eut une vision. Ils arrivèrent. Une personne avait créé une armée de nouveaux nés pour tuer les Cullen et Bella. Avec Jacob, nous décimâmes de combattre aux cotés des loups-garous. Cependant une nuit où ma famille était parti chasser, Bella accepta de m’épouser à condition qu’à la lune de miel j’essai de coucher avec elle. Et vint ce fameux jour où Bella m’avait demandé de pas me battre, j’allai rester avec elle. La créatrice était Victoria. Avec l’aide de Seth, nous tuâmes Victoria avec un nouveau né, un jouet pour elle. Le mariage se passa très bien. Ma femme était tout simplement magnifique ! Jacob vint la voir, il avait failli perdre le contrôle. Nous partîmes en voyage de miel. Elle était recouverte d’ecchymoses, la première nuit. Pourtant têtu comme elle est, elle fini par me faire succomber. Les jours passèrent, et elle finit par être malade. Une intoxication disait-elle. Pourtant, elle continuait à aller mal. Lorsqu’elle était partie chercher quelque chose pour la soulager, elle me montra sa boite de tampons. Je ne comprenais pas trop, pourtant les actes m’entraient dans la tête. Tout simplement… impossible. Nous étions stériles, les vampires ne pouvaient pas créer. Carlisle appela, il pensait que Bella était enceinte. Il fallait se débarrassé de cette chose qui allait la tuer. Arriver à Forks, elle m’annonça qu’elle voulait garder le bébé. Son état alla de pire en pire. Elle s’affaiblissait. Rosalie qui l’a toujours détester était à son chevet, prête à tout pour avoir un bébé. Le moment de l’accouchement arriva. Son cœur arrêta de battre, je pris une seringue et la planta directement dans son cœur. Mon venin. Elle n’était pas comme les vampires nouveaux nés, elle savait se contrôler. Elle était tout simplement merveilleuse ! Avec notre fille, elle était encore plus merveilleuse. Renesmée, mon bébé, ma progéniture, elle était unique. Spécial. Elle avait un charme fou ! Les prunelles de sa mère. Des fois passèrent, les Volturis apprirent l’existence de ma fille. Pour eux, elle était un enfant immortel. Nous appelâmes des amis, tous ceux qu’on pouvait réunir enfin d’avoir des témoins. Nous ne voulions pas nous battre, comme voir ma femme et ma fille se faire détruire ? Comment vivre sans eux ? Tout simplement impossible. Nulle bagarre. Nous réussîmes à faire diviser les Volturis. Pourtant je pouvais lire la haine d’Aro. Il n’était pas content. Il avait perdu de nombreux pouvoirs. Pour l’instant, nous avons la paix. J’étais avec ma femme. Ma fille. Ma famille. Étais-je heureux ? Oui, je l’étais.
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Carlie Anne Lewis
✗ Romans : 44
✗ Entrée a Forks : 03/01/2010
| | Sujet: Re: *. Edward Anthony Masen Cullen. Mer 13 Jan - 22:52 | |
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| | Sujet: Re: *. Edward Anthony Masen Cullen. | |
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| | | | | | *. Edward Anthony Masen Cullen. | |
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